Mercredi 29 août
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Enfin les mots peuvent surgir,la passion s'animer:un mois que je tais mon bonheur actuel.Pour un homme,pour être le sang qui boue,pour être dans l'éternel
inconnu,pour vivre.
Cette histoire a un point commun avec celles qui m'ont fait éprouver de réels sentiments,qui font perdre tout point d'attache avec le sol tant on est transporté de passion:elle est tout
simplement interdite.
J'avoue,je suis irrémédiablement attirée par tout ce qui est jugé comme"mal" ou dangereux,ce qui est caché,tabou,défendu,rien qu'aux mots je me sens déjà comme un animal
prêt à bondir,les sens en éveil,à l'affût du signe,de l'erreur qui me permettra de devenir"le renard dans le poulailler".
En ce sens mes parents ont bien fait de me donner une éducation religieuse:cette crainte de "mal faire" m'a permis de ne pas suivre mes instincts tendance chasseresse
perverse(rire) jusqu'à être en âge de remplacer la morale transmise par une véritable éthique personnelle et ainsi choisir de me laisser emporter ou non.
Depuis que j'ai rencontré celui que je surnommerai "Conmovedor" je retrouve la fougue de mes terres,la force qu'on éprouve lorsque de la mer jusqu'aux baous plus
rien n'apparaît,un univers de pins et de garrigue,l'air chargé d'épices et cette châleur d'une main qui serre la vôtre comme pour vous retenir de vous envoler.
Il est ma fièvre,mon rire,mon désir ardent,ma tendresse,mon amant déchaîné...et cette nuit je le rejoinds...
Publié dans : Relations
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Heureux de pouvoir lire tes aventures ici, car je manque cruellement de temps ces jours ci pour te trouver sur msn (et tu sembles manquer de temps aussi, te vautrant sans vergogne dans des plaisirs à deux ;))
Je te souhaite tout le bonheur possible pour ce nouveau chapitre de ta vie !
Ton Fred à l'abdo-mou-mais-le-membre-dur
(ptain c'est un signe, les trois lettres que je dois taper pour poster le message c'est BTS...)
Depuis que nous nous sommes parlés l'autre jour je repense encore et encore à cette chère tentation,il faut dire que de sympathiques souvenirs m'y incitent;) alala dur dur...c'est bien le mot je me trompe?hihi
Bisous à bientôt.
Mais ce surnom... "con moved or", tu nous l'expliqueras, dis?? Et lui, il viendra participer ici ou pas?? ce sont des données importantes, tu ne crois pas??
Lui j'en doute,bien qu'il connaisse l'existence du blog il n'en a pas l'adresse.
Cela fait déjà cinq jours que tu es venue poster chez moi et je n'avais toujours pas eu le temps de venir te saluer sur tes pages....c'est chose faite. J'ai répondu il y a cinq minutes à ton commentaire sur les prisons pour mineurs, que j'ai trouvé très constructif et je te remercie de ta contribution.
En ce qui concerne ton article, je connais cette sensation dont tu parles. L'interdit, le tabou, le caché sont tellement excitants. C'est sans doute pour cette raison que j'ai souvent été la maîtresse de certains hommes, et que j'ai vécu des aventures guidées non pas par mes sentiments mais par cet appat qu'est le risque...
Je suis en vacances actuellement et très occupée par divers projets en cours, mais dès la rentrée je prendrai un peu de temps pour venir te lire plus longuement, ton blog a l'air riche et interessant.
A bientôt, donc!
Je pensais qu'en venant ici tu ferais le lien et comprendrait que tu me connais déjà;)
A bientôt demoiselle j'espère,
Bisous.
Des fois je me demande vis à vis de quoi tu commentes...Je n'ai pas dit que c'était fini entre nous,nous étions encore ensemble ce matin pour te dire.
Beaucoup d'autres auraient pu convenir encore:)
Voilà des conféssions bien intimes, que tu livre ici
Et je me risque à penser que les sentiments décrits, nous les avons vécue nous aussi.
Les souvenirs de nos ébats brûlent encore dans ma mémoire
Et j'avoue sans retenu que la description de ta relation fait un jaloux
Non pas par désir, mais par manque de te voir
Voir ces yeux qui jadis m'ont possédés et rendue fou
En espérant que mes rîmes puissent te distraire le temps d'un sourire, que je t'envois à travers ces modèstes mots.
cordialement, ton marseillais N.M
Je n'oublie pas moi-même ni les sentiments,ni les souvenirs qui nous unissaient.Nous étions deux à être fous,je ne compte pas le nombre de fois où je t'ai observée avec un sourire aux lèvres,souvent endormi et moi te regardant à la sauvette comme seule fait une jeune femme amoureuse qui voue de la tendresse à son homme.
Bien que nos routes soient aujourd'hui un peu éloignées l'une de l'autre,le lien qui nous unit n'en est pas moins beau.Comme je te l'ai dit il y a quelques jours,tu comptes et compteras toujours pour moi,je serai là pour toi et espère te voir heureux.
Je t'embrasse.
je me rend compte maintenant du vide qui prend place dans ma vie, je cultive l'espoir de trouver en la couche féminine des plaisirs charnels, plaisirs qu'à ce jour tu es la seul à m'avoir donné, alors je me travestie dans la couche masculine non sans passion, mais motivé par ce membre qui m'impose les méfaits que la nature a sur l'homme.
je t'embrasse, ma rachelle, ton anonyme du sud.